LE SOUPIRANT ECONDUIT Ambassadeur en France depuis le mois de mai, Bismarck n'y avait pas acquis la renommée d'user complaisamment du dièse et du bémol. Faisant fi des nuances de règle dans la profession, il avait un penchant pour les propos toniques...
Lire la suitele roman de l'histoire serge granjon
Serge Granjon - Saint-Etienne sous le Second Empire - Vie sociale
Il traita pas moins de soixante-dix sept sujets, alliant des thémes aussi divers que l'avarice ou la beauté, l'orgueil ou la pauvreté, le secret, le remords, l'honneur ou la vengeance. A la tombée du jour quand approchait la morte saison, on voyait les...
Lire la suiteSerge Granjon : Saint-Etienne sous le Second Empire - Le Furan notre fleuve
Le FURAN : notre fleuve En mettant un point final à son feuillet, un certain 1er septembre 1866,le conseiller municipal François Chapelle se doutait bien qu'il allait jeter un pavé...dans la rivière. " Pas de couverture au Furens " : le titre, résolu,...
Lire la suiteSerge Granjon : Saint-Etienne sous le Second Empire : Valbenoïte, La promenade oubliée
L'art de ne rien perdre quand tout se créait...En 1859, le grand Saint-Etienne recueillit la promenade de Valbenoîte. Un mail anachronique aux dimensions d'un jeu de boules, lorsque s'achevait le Jardin des Plantes et le Cours Fauriel. Ombrelles et falbalas...
Lire la suiteSerge Granjon : Saint-Etienne sous le Second Empire : Marée Blanche
De mémoire d'indigénes on n'avait jamais vu autant de neige à la fois. Si ce n'est pour les vétérans, lors de l'hiver 1812, l'un des plus terribles du siècle, qui brisa la grande armée aux flots glacés de la Bérézina...si ce n'est qu'en 1859 où les diligences...
Lire la suiteSerge Granjon : Le roman de l'Histoire : Saint-Etienne au Second-Empire - Le ventre de la ville ( 4 )
MARCHE CONCLU S'il en était besoin, l'incendie des halles de Paris, survenu courant juillet 1868, conforta la municipalité stéphanoise dans le choix d'une structure de fonte : elle avait résisté au feu jailli des caves. Introduite seulement en France...
Lire la suiteSerge Granjon : Le roman de l'Histoire : Saint-Etienne au Second-Empire - Le ventre de la ville ( 3 )
Des projets boulimiques Un temps fut évoqué un seul marché couvert,central, sur l'actuelle place Dorian. Mais l'espace était insuffisant, et on lui préféra un emplacement bipolaire. A croire que la montagne accouchait d'une souris. Le flanc de la colline...
Lire la suiteSerge Granjon : Le roman de l'Histoire : Saint-Etienne au Second-Empire - Le ventre de la ville ( 2 )
PLUS GRAND QUE LES YEUX " Il n'est bon bec que de Paris "affirma, jadis, François Villon. Une capitale au tempérament venu du fond des halles, longtemps après imitées " " Ses affaires sont dans la tête d'un muet ", disait de lui Mérimée. Sauf à Saint-Clou...
Lire la suiteSerge Granjon : Le roman de l'Histoire : Saint-Etienne au Second-Empire - Le ventre de la ville (1 )
D'ANCIENS MARCHES IL s'y trouva souvent mieux qu' " un seul petit morceau de mouche ou de vermisseaux ". A croire que la faim...justifie les moyens. En ce temps où régnait Henri le Béarnais, grand prince, bien que réputé Vert Galant ( à présumer que l'un...
Lire la suiteSerge Granjon : l'Histoire de Saint-Etienne au Second-Empire -Marengo, jardin d’Orient ( 3 )
TEMPETE DANS UN BASSIN Dans la nuit du 29 au 30 mai 1872, un crime passionnel rougit les vasques. Un récent canard de Barbarie, méritant bien ce nom, tua dans un accès de jalousie le plus beau des anciens canards. Placé en détention au Jardin des Plantes,...
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