Ils se posent sur vous, comme un oiseau sur la branche
Sans un mot, fugaces
Impitoyables, ils tranchent
Sans raison valable, ils cassent, lassent
Ces regards qui brûlent, comme une lame, une flamme
Marquent à vif, tatouage sur une peau récalcitrante
Bêtes et méchants, ils condamnent, damnent,
Ne méritant que mépris et totale indifférence
Mais qui sont-ils ces parasites de l’existence ?
Toujours là où nous ne souhaitons pas les rencontrer
Quand leur bêtise persiste, même en notre absence
Omniprésents, impossible de les éviter
Ces regards qui brûlent, comme une lame, une flamme
Marquent à vif, tatouage sur une peau récalcitrante
Bêtes et méchants, ils condamnent, damnent
Ne méritant que mépris et totale indifférence
Que l’existence serait plus agréable s’ils pouvaient disparaître
Au moins de notre vie, se faire oublier
Pour ne plus jamais réapparaître
Enfin libres de pouvoir respirer
Ces regards qui brûlent, comme une lame, une flamme
Marquent à vif, tatouage sur une peau récalcitrante
Bêtes et méchants, ils condamnent, damnent
Ne méritant que mépris et totale indifférence
Bien entendu, derrière ces soudains changements
Il y a souvent une âme bien-pensante
Guide spirituel de la bêtise et du néant
A l’influence néfaste ô combien pesante
Ces regards qui brûlent, comme une lame, une flamme
Marquent à vif, tatouage sur une peau récalcitrante
Bêtes et méchants, ils condamnent, damnent
Ne méritant que mépris et totale indifférence