Mon chat a posé sa patte sur ma poitrine
En murmurant doucement des mots doux
Cette fin de nuit je pleurais très fort
Du retour de la solitude. cette vilaine copine
De travail et de la mort de l'amour enfin vécu
Et ma chair se déchirait comme un tissu usé
Mais je ne suis pas faite pour la tragédie!
Juste pour les chagrins qui soupirent
A grosse larmes comme ceux des enfants
S'en vont et puis reviennent, mois après mois
Comment regretter les amours libres et rares
Ces minutes partagées sont pierres précieuses
Mon chat a posé sa patte sur ma poitrine
En murmurant dans sa gorge des mots doux
J'ai basculé dans son regard et lui ai répondu
" Oui, l'amour se donne sans condition "
Toile - Veselka Velinova